
Êtes-vous maîtresse de votre corps ?
Je passe le testÉcrit dans Santé.
Êtes-vous dans le contrôle de votre corps ou est ce que vous laisse votre corps vous contrôler ? Il est temps de découvrir qui, entre lui et vous, est le maillon faible !
5 questions
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Mon estomac fait ses gammes depuis bientôt une heure... Arrive enfin l’heure du déjeuner, qu’est-ce que je fais ?
- Je pense à mon bikini et pars sur une assiette de légumes et un dessert fruité
- Ça sera entrée, plat, dessert, je dévore le pain dans l’attente et choisis le plat que je ne finirai jamais mais qu’importe… j’ai FAIM !
- Je ralentis le mouvement et garde un pied sur le frein en vue d’une sortie tout en « douceurs »
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Une petite fringale ?
- Je ne résiste pas à l’appel du distributeur, sors ma pièce déjà mise de côté et déguste ma petite barre chocolatée
- Je dégaine ma clémentine et me réjouis d’empester mes collègues…
- Un grand verre d’eau et ça repart
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Le sport, c’est quoi pour moi ?
- J’en fais dès que je peux ! C’est-à-dire, pas très souvent…
- Vous pouvez répéter la question ?
- Un ami qui me veut du bien
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Me voilà un peu malade : nez bouché, une pyramide artistique de mouchoirs à mes côtés, lèvres gercées, je respire comme je peux :
- Ma gorge picote… j’ai éternué plus d’une fois… Ni une ni deux, je pars voir mon médecin car comme disait mamie, mieux vaut prévenir que guérir.
- « Allô maman, bobo… » je ne bougerai pas d’un poil de mon lit, le monde peut s’arrêter de tourner, ma boîte s’effondrer j’hibernerai toute la journée à la recherche d’une position qui libèrera une narine…
- « I will survive ! C’est pas la petite bête qui va manger la grande ». J’emporte aspirines et sachets de tisanes au travail
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En ce qui concerne mes chaussures ?
- Coussinets internes, amortis externes, je marche dans des chaussons tout en recevant des condoléances pour la mort de mon style
- « Il faut souffrir pour être belle », je saute sur cette paire d’escarpins quitte à réanimer mes doigts de pied en fin de journée
- Je prends mon après-midi et me la joue Cendrillon. J’essaie une flopée de chaussures jusqu’à trouver celles qui me permettront de dire : « oui, elles sont pas mal, et puis elles sont suuuuper confortables »